Le Sénégal est incontestablement un pays de sport ; Il existe plus d’une quarantaines de fédérations sportives ou CNP avec des disciplines comme le FootBall à la lutte qui drainent beaucoup de monde.

Neanmoins les sports americains sont quasi inexistants dans notre pays, ce retard est dû à de multiples facteurs qui sont d’ordre culturels mais surtout economiques. 

En effet nous pour developper ce type de sport il faut imperativement des infrastructures et du materiel adapté ce qui entraine un blocage tres important à l’installation et l’emancipation de ces sports ici au Sénégal.

Pourtant certaines structures comme le CNP de softball-baseball (au debut des années 2000), APSUS ou POWER CIRCLE Sénégal travaillent à combler ce vide en mettant l’accent sur la formation car ayant compris que pour inverser la tendance, il faut rompre avec la culture des campagnes pour inscrire les sports populaires dans une dynamique de professionnalisation grâce à une formation continue et durable des acteurs.

Avec le souci de faire face au financement du sport en général et du fait de la faiblesse de ses moyens, l’Etat, est toujours à la recherche de solution pour doter aux organisations sportives. -d’infrastructures, d’équipements et de moyens logistiques adéquats, à terme chaque fédération ou CNP se débrouille en partenariat avec des sponsors ou la subvention du ministere des sports.

Pourtant les enjeux sont enormes et l’etat dans le cadre de sa politique sportive, doit solliciter auprès des pays avec qui il signe des accords d’appui au développement privilégié, l’acquisition d’infrastructures et de materiels, surtout dans ce contexte actuel où les U S A  cherchent un partenariat avec l’Afrique, ainsi l’entrée par le sport pourrait être un créneau idéal.

l’une des voie à suivre serait d’encourager le partenariat public – privé en promouvant la création de centres de formation (academies sport-études) , faire de certains lieux comme l’école un vivier de futur grands sportifs ainsi l’introduction de sport étranger, en plus de l’élargissement de l’assiette des choix, ouvre toujours des opportunités à ses adeptes.

N’oublions pas les medias qui doivent jouer un role majeur dans la promotion et la diffusion de ces sports, que serait la March Madness sans TNT CBS ou ESPN..

En général l’Afrique n’entretient des axes de coopération sportive qu’avec l’Europe. Dans le même ordre d’idées, les Etats Unis n’entreprennent aucune initiative pour inciter les africains à s’intéresser aux sports qui leurs sont spécifiques ,mais la tendance doit s’iverser et permettre aux américains de nouer des relations solides benefiques et durables avec l’afrique par le sport mais aussi aux jeunes africains de pouvoir jouer dans une ligue majeure et ainsi vivrent leur rêve americain.